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24/08/2010

Le sous-développement est une conséquence de la politique politicienne

Un pays ne peut décoller de son rang tiers-mondiste vers un autre statut plus développé et démocratique si son champ politique est malade, si ces partis politiques sont non démocratiques et si ses les instances dirigeantes de  ces partis sont corrompus et opportunistes jusqu'à devenir un exemple modèle pour les jeunes partisans ou pour ceux qui souhaitent tenter leur chance dans l'action politique comme représentant de leurs localités ou régions.
Au Maroc l'écrasante majorité des partis politique, si ce n'est pas tous, sont sous-développés      incapables de suivre les nouveaux concepts qui visent à faire du maroc une nation moderne , démocratique et développée.  

Les têtes de listes des élections se vendent et s'achètent comme des oursins. La première place sera réservé au plus disant et ainsi de suite. Le maroc ne peut avancer si il ne frappe pas assez fort sur le nez de ces oursins de la politique du mensonge:

Le jeune parti PAM que presque tous les partis traditionnels contestent en le traitant du parti du Roi, le nouveau venu, le nouveau né, le parti d'el himma, le parti de sidi ali, le parti du Roi, le parti de l'administration, le parti anti-islamiste, ..etc, tente de sortir de la coquille partisane marocaine mais en vain. 
Ce parti souffre à la base: 
des élus assez corrompus voleurs des deniers publics mauvais gestionnaire ignorant avec des niveaux scolaire assez bas ayant cumulés des années et des années d'apprentissage des techniques de détournement et d'opportunisme , comme un célèbre petit fonctionnaire chauffeur de casablanca, le font perdre de sa crédibilité.
Voici ce que révèle la célèbre agence officielle: un membre démissionne parce qu'il n'a pas réussit à obtenir la tête de la liste électorale.


Le PAM accepte la démission d'un membre de son bureau national et révoque des membres et élus

Rabat - Le Parti Authenticité et Modernité (PAM) a décidé d'accepter la démission d'un membre de son bureau national et de révoquer certains de ses membres et élus et ce "en respect des dispositions de son statut et des objectifs assignés à son projet visant à réhabiliter l'action politique et partisane, la déontologie du militantisme politique et des fondements de la démocratie".

Il s'agit, selon un communiqué du PAM, de l'acceptation de la démission d'Ahmed Dibouni, membre du bureau national du parti, laquelle démission est animée par des considérations électoralistes étriquées loin des fondements qui ont présidé à la création du parti, et en réaction négative au refus de la commission électorale de lui attribuer la tête de liste aux élections partielles pour le renouvellement du tiers de la Chambre des Conseillers pour la région Tanger-Tétouan.

Par ailleurs, et sur la base des recommandations des rapports régionaux soumis à son secrétariat et des investigations que ce dernier a menées, le PAM a décidé de révoquer, de l'ensemble de ses structures, Lakhdar Haddouch pour "non respect des décisions et orientations du parti et pour avoir constitué une voix dissonante dans la structure organisationnelle du parti dans la région de l'Oriental".

Cela est apparu nettement dans ses positions et son comportement au sein du conseil communal d'Oujda, ainsi qu'à l'occasion des élections partielles pour le renouvellement du tiers de la Chambre des Conseillers pour la région de l'Oriental, poursuit le communiqué, ajoutant qu'en vertu de cette décision, il est mis fin au mandat parlementaire et communal de l'intéressé au nom du parti, à la date de sa notification au concerné.

Le PAM a également pris la décision de révoquer de toutes ses structures plusieurs de ses membres et élus pour comportements indignes qui vont à l'encontre des objectifs et principes du parti.

Il s'agit de MM. Driss Lazghar, membre du conseil national, Abderrahmane Kerkich, Mohammed El Arabi Ahnine, Abdesslam Akhrouf, Lahcen Lebjaoui Hmimes, Abdelouahed Tribek et Brahim Bensbih, tous présidents de communes, Ahmed Achernane, membre de conseil provincial et Mustapha Znagui, conseiller communal.

Le Parti considère que ces décisions dénotent également la priorité accordée à l'attachement aux principes de la discipline et à l'esprit de la Charte d'honneur des élus et procèdent de l'impératif de ne pas réduire la praxis politique au souci électoral, en dépit de son importance, et de ne pas subordonner son existence et sa place uniquement au nombre des élus et à la taille des communes gérées par le parti.

Le PAM demeurera vigilant pour parer à tout dysfonctionnement pouvant influer sur le rendement de ses membres et ferme dans ses décisions organisationnelles dont il est déterminé à annoncer le contenu, immunisant ainsi son expérience et son projet contre d'éventuels dérapages et ce dans le respect des normes juridiques contenues dans ses statut et règlement intérieur, conclut le communiqué.

PS: si le maroc veut vraiment se développer, il n a qu'à créer encore plus d'agence spéciales chargées d'exécuter des projets bien définit et dans les délais, tout en activant et renforçant les institutions de contrôle de la gestion et la régularité des deniers publics: les cours des comptes, les inspections,  ..etc    

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